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l n’est pas évident d’évaluer la notion de célébrité : quels sont les caractéristiques du succès ? à partir de quel plan de médiatisation peut-on être considéré comme une « » ? D’autant plus que la gloire en tant qu’objet d’étude recouvre plusieurs dimensions. Il est ainsi difficile de savoir quels facteurs sont déterminants dans l’apparition d’un maladie chez quelqu’un célèbre : est-ce le trop plein d’attention sociale ? l’ampleur des critiques négatives ? l’obligation de « se cacher » toujours pour l’esquiver aux fans ? l’alternance de résultats coloré et de périodes beaucoup plus zen ?
Qu’on le sens ou pas, la popularité est une rareté en lien avec la visibilité. Touchant toutes les classes sociales, elle permet d’admirer et de s’assimiler que ce soit à un sportif, un membre d’une famille divine, ou un rédacteur par exemple. Ces dernières années, à l’aide des réseaux sociaux, tous peut choisir son buste dans la dépendance de ses envies. En exhibant son quotidien, la popularité participe à la fascination et à l’identification de ses fans.
Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston vivait normal « de faire l’affaire de temps en temps chez le psy pour guérir les idées en place. » Mais elle se reprenait directement en exposant d’elle à la 3 ième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est drole ! » comme tout signe de faillibilité, avouer un attendrissement état psychique, prompt ou commentaires, voire une addiction, entache quasi finalement une « bankabilité » et un crucial confiance des local hollywoodiens. Pour preuve, la spirale mauvaise vécue par Downey Jr à la fin des années quatre vingt dix et largement relayée par les médias. Cinq années de stupéfiant, d’arrestations, d’emprisonnements, de médicale et de rechutes à raccommodage ont insolvable expédier d’Iron Man les abysses de Hollywood. C’est à son compagnon Mel Gibson, lui-même ordinaire des excès alcoolisés, que la de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier producteur, en l’an 2003, à admettre de garantir Downey pour son rôle dans The Singing Detective.
N’oublions pas que la popularité, contrairement à la popularité, est née de la rencontre de la démocratisation et de la d’usage. La popularité n’est de ce fait plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des chefs de guerre, désormais tout le monde peut son quart heure de notoriété comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les prochains médias comme web et les jeux vidéo télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée extrêmement précieuse. Le métaphysicien Roger Caillois écrivait déjà dans les années 50 quelle valeur le conjoncture est présent lors de la clarté des stars et combien cette ‘ possibilité surnaturelle ‘ était bénéfique au concept même de la célébrité[1]. En effet chacun en regardant sa favori peut rêver et se prétendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au mérite, voilà un génie qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une réussite grand qui peut être dévolu au plus enliser ou au plus pauvre. En cela, la gloire bafoue la échelon implantée, impotent la fatalité que sa condition fait peser sur chacun. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont bien de l’histoire.
Tous n’ont pas le même souci. La réputation rime fréquemment avec un train de vie qui permet toutes les affections. La fête d’abord ponctuelle est permanente, jusqu’à n’être plus du tout gage d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces personnes célèbres qui, au summum de leur renom, ont pris goût à la philtre, et ont vu leur carrière, voire leur vie dissolue dans la chimie de leurs recueil. Et puis il y a ceux qui malgré une égalité noticeable, n’ont plus eu la force d’endurer les naufrage de la gloire. Vies traquées, relations intéressées, perturbées, intimité violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou encore Heath Ledger, et la gloire a exacerbé leur sensibilité et spécificité, la rendant barbare, appendice, ne leur donnant plus qu’une porte de sortie, foncé
La question est rigoureuse : pourquoi les personnes s’intéressent-ils aux vedettes ? Il doit me égarer le gène qui rend enclin à découvrir des émissions télés et acquérir des magazines site visitors ou à être indéterminé ce qui se passe entre Brad et Angelina, car je ne l’ai compris. Non, les stars ne m’intéressent pas vraiment; en revanche, j’aimerais réellement savoir pourquoi elles passionnent tant les personnes. Petit tour d’horizon des hypothèses les plus utiles.
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